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8 mars 2019 5 08 /03 /mars /2019 06:55

Où voir le film et à quelle date ?

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Dans ‘La Marseillaise’

‘…..François Ruffin : à l’automne dernier, j’ai le sentiment que la France a traversé un moment très particulier de son histoire, que j’attendais depuis 20 ans. Cela fait 20 ans que, comme reporter, je me rends chez les gens. Ils me font part, avec honte, de leurs frigos à moitié vides, de l’impossibilité de partir en vacances... Il était impossible de mettre un visage sur ces gens car ils ne voulaient pas être reconnus. Et là, ces mêmes personnes que j’ai vues le 17 novembre, que je croisais avec leur discrétion, venaient se mettre sur les ronds-points avec un gilet jaune, déballer leur histoire. C’est le passage de la honte privée à la colère publique. Je voulais qu’il y ait une trace artistique de ce moment…..’

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 ‘Mais je crois aussi que la contribution la plus efficace au mouvement qui aura été faite en ce moment est la diffusion du film de François Ruffin et Gilles Peret. On peut dire qu’on ressort de la salle avec l’envie de participer au combat plus forte et plus ancrée en soi. Je recommande à tous d’aller voir ce film. Non seulement pour son message politique mais aussi pour la part de beauté humaine qu’il contient. Perret et Ruffin ont produit un vrai chef d’œuvre d’art populaire qui se présente comme protagoniste du moment et pas seulement comme un témoignage ou un documentaire. Dans la salle on rit, on pleure, on hue Macron. C’est un visionnage participatif d’un genre nouveau. Ne manquez pas ce moment : c’est de l’histoire de l’art autant qu’un évènement politique’.

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8 février 2019 5 08 /02 /février /2019 06:24

A divers degrés, de différentes manières, pour des raisons variées, nous marchons avec le courant. De là, la banalité du mal comme l’a écrit Hannah Arendt.

Le livre Les Amnésiques de Géraldine Schwarz, comme celui de Daniel Schneidermann, Berlin 1933, témoignent de ce vide moral, de cette absence d’esprit critique, de cette indifférence, de cet aveuglement qui habite les allemands face à ce qui se passe.

Ces deux livres tombent à point au regard du moment que nous vivons.

En Allemagne, les premiers à avoir  étrenné les camps de travail ce furent les communistes - ni la population ni les journalistes ne bougèrent -. On connait la suite.

En France, aujourd’hui, la répression contre les manifestants se banalise dans la rue comme au prétoire, le droit de manifester est attaqué par la rétention administrative et discrétionnaire, les lois sécuritaires s’enchainent et sont votées sans que personne s’en émeuve, la perquisition sélective et ciblée contre tout ce qui s’oppose au pouvoir devient affaire ordinaire,… , l’État se fait de plus en plus autoritaire, et nous, tels des Mitläufer, nous marchons avec le courant.

Exergue

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Premières pages du livre Les Amnésiques de Géraldine Schwarz (Flammarion)

 

…. Les parents de mon père n’avaient été ni du côté des victimes, ni du côté des bourreaux….  Ils étaient simplement des Mitläufer, des personnes « qui marchent avec le courant ». Simplement au sens où leur attitude avait été celle de la majorité du peuple allemand, une accumulation de petits aveuglements et de petites lâchetés qui, mis bout à bout, avaient  créé les conditions nécessaires au déroulement de l’un des pires crimes d’État organisé que l’humanité ait connu…… le recul manqua à mes grands-parents comme à la plupart des Allemands pour réaliser que sans la participation des Mitläufer, même infime à l’échelle individuelle, Hitler n’aurait pas été en mesure de commettre des crimes d’une telle ampleur.

Le Führer lui-même le pressentait et prenait régulièrement la température de son peuple pour voir jusqu’où il pouvait aller…… Un épisode, le seul malheureusement, avait démontré que la population n’était pas aussi impuissante…. En 1941, la contestation de citoyens et d’évêques catholiques et protestants allemands avait réussi à interrompre le programme d’extermination des personnes handicapées…. Hitler céda face à l’indignation populaire et mit fin à son projet…..

Mais au lendemain de la guerre, personne ou presque en Allemagne ne se posait la question de savoir ce qu’il serait advenu si la majorité n’avait pas marché avec le courant, mais contre une politique qui avait révélé assez tôt son intention de piétiner la dignité humaine…..

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Berlin, 1933 La presse internationale face à Hitler, par Daniel Schneidermann

Rares sont les journalistes qui perdront leur accréditation pour avoir décrit et alerté de ce qui se passe en Allemagne. Une complaisance certaine envers le pouvoir habite l’immense majorité des gens de presse tant est forte la haine des communistes, prégnante la puissance des milliardaires patrons des journaux.

Exergue  

 

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24 décembre 2018 1 24 /12 /décembre /2018 10:35

Avec Brice Matthieussent, écrivain et traducteur pour les traduction de Jim Harrison

et

Christophe Roncato Tounsi, maître de conférence en Anglais à l'Université Grenoble Alpes pour la traduction de Gary Snyder.

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11 novembre 2018 7 11 /11 /novembre /2018 09:29

C’est merveilleux !

Reprises de chansons de Joan-Manuel Serrat (espagnol) et de Ariez Ramirez (argentin)

 

SERRAT // De Vez En Cuando La Vida by Mariana Flores, Cappella Mediterranea

 

"Aquellas pequeñas cosas" Joan Manuel Serrat
SERRAT // https://www.francemusique.fr/personne/mariana-flores

 

Alfonsina y el Mar de Ariel Ramirez

 

France musique -  15mn avec Mariana Flores

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3 juillet 2018 2 03 /07 /juillet /2018 06:03

mais aussi un livre

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Présentation faite par Le Media

« l’Entretien Libre » accueille le philosophe Henri Pena-Ruiz. Spécialiste des questions de laïcité, il a également consacré plusieurs livres à la pensée de Marx.

Il revient en librairie aujourd’hui avec une réflexion passionnante sur la place qu’occupe le rapport à la nature dans la pensée de l’auteur du « Capital ». Une réflexion dont le titre peut résonner comme une provocation, « Marx penseur de l’écologie » (éditions du Seuil), tant on a en tête les catastrophes orchestrées par le stalinisme dans le domaine de l’environnement naturel, et son productivisme à marche forcée. Pourtant, on le découvrira au cours de cette discussion, Marx ainsi qu’Engels étaient bel et bien porteurs de fortes intuitions dans le domaine écologique, dont la modernité est même tout à fait troublante. « Le capitalisme n’épuise pas seulement l’homme, il épuise la terre ». Aujourd’hui plus que jamais, il nous appartient de redécouvrir et de faire vivre cette tradition oubliée.

 

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 10:11

Source : https://www.francemusique.fr/emissions/open-jazz/l-actualite-du-jazz-john-coltrane-l-album-perdu-de-1963-62918

à écouter!

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Open jazz

En avant-première, l’album studio inédit de John Coltrane “Both Directions at Once: The Lost Album”, le Graal du jazz, qui paraît le 29 juin chez Impulse ! / Universal.

Le 6 mars 1963, John Coltrane entre en studio chez Rudy Van Gelder avec son 'Classic Quartet' — McCoy Tyner, Jimmy Garrison, Elvin Jones — et ensemble ils enregistrent un album complet. Cette musique, avec des compositions originales jamais entendues jusqu'à présent, aura mis plus de cinq décennies avant de voir le jour. L'album, en quelque sorte, est le Saint Graal de l'univers jazz. “Both Directions at Once : The Lost Album” sort le 29 juin chez Impulse! Records, le label qui reste l'ultime maison de Coltrane, celle de ses plus grandes créations. 

Pendant la première semaine de mars en 1963, l'agenda de John Coltrane est très chargé. Il entame la deuxième partie d'un engagement de quinze jours au Birdland, et se prépare à enregistrer le fameux “John Coltrane and Johnny Hartman”, qui faisait l'objet de sa séance du 7 mars... Mais la veille, il y avait déjà une autre séance, restée mythique… jusqu'à aujourd'hui. Car ce mercredi 6 mars, Coltrane emmène son quartet dans le New Jersey aux studios Van Gelder, et ensemble ils mettent sur bande de quoi faire un album entier, dont plusieurs compositions originales qu'ils n'enregistreront plus jamais ailleurs. Le magnétophone tourne toute l’après-midi. Sur certains titres, le quartet prend son temps, répétant deux fois, trois fois, et en interprétant les morceaux d'une autre façon, ou dans des configurations différentes. 

En fin d’après-midi, le quartet s’engouffre dans un taxi pour rejoindre le Birdland où ils jouent le soir-même. En quittant le studio, Coltrane emmène une bande de référence, en mono, pour la faire écouter à Naima, son épouse en rentrant chez lui dans le Queens. Et on ne touche plus au contenu de cette bande pendant 54 ans, jusqu'au jour où Impulse! contacte la famille Coltrane pour envisager la publication de l'album "perdu". Même si la bande master n'est jamais retrouvée — Rudy Van Gelder aimait les studios bien rangés — la bande de référence s'avère toujours en excellent état. Pour reprendre les propos du légendaire Sonny Rollins, "C'est comme si on découvrait une nouvelle chambre dans la Pyramide de Khéops." Quand on considère les répercussions de cet album, ses titres originaux, les arrangements, le quartet, l'année où il est enregistré, ainsi que ce pouvoir de contextualisation qui est celui de Coltrane, tout nous permet de redécouvrir l'un des plus grands musiciens de notre époque. 

Danny Bennett, président du groupe Verve, qui comprend Impulse!, déclare, “Aujourd'hui, le jazz est plus pertinent que jamais ; il devient la musique alternative du 21ème siècle. Personne n'incarne mieux que John Coltrane cette essence du jazz qui transcende les frontières.C'était un visionnaire et il a changé le cours de la musique. Cet album disparu est le genre de découverte qui ne se produit qu'une fois dans une vie : c'est un aperçu du processus créatif du musicien, et en même temps il nous lie à Coltrane en tant qu'artiste. Ce disque est un moment culturel, et sa publication coïncide parfaitement avec notre relance du label iconique Impulse!” 

Sur cet album figurent deux titres originaux, des titres que personne ne connaissait et qui n'avaient jamais été entendus auparavant : Untitled Original 11383 et Untitled Original 11386 sont interprétés ici au saxophone soprano. 11383 est notable également pour un solo à l'archet de Jimmy Garrison - fait relativement rare - alors que 11386 dénote un changement structurel dans le quartet, avec la reprise du thème entre les solos, qui est une pratique inhabituelle dans le répertoire de ce groupe. En plus de ces deux inédits purs, on peut entendre One Up, One Down – ce titre existait seulement sur un 'bootleg' réalisé au Birdland - mais ici il s'agit donc d'une version studio - et c'est la seule. Ce One Up, One Down contient un échange fascinant entre Elvin Jones et Coltrane. Impressions est une célèbre composition de Coltrane, souvent enregistrée par le saxophoniste, mais ici elle est jouée en trio, sans piano. Et il est vrai que nous remarquons que McCoy Tyner s'absente plusieurs fois du quartet : c'est encore un aspect intéressant de cette séance, un indicateur des possibilités harmoniques qui faisaient l'objet, on le sait, de discussions régulières à l'époque entre Coltrane et Ornette Coleman. Nous entendons également le premier enregistrement par Coltrane de Nature Boy, un titre dont il donnera une seconde version dans une séance de 1965. Les deux versions diffèrent grandement. Celle que nous connaissions est exploratoire, et fait des méandres… alors que celle-ci, antérieure, est serrée, sans solo, avec une durée de trois minutes à peine. Quant à l'autre composition non-originale de cet album, elle est signée Franz Lehár : il s'agit de Vilia, tirée de l'opérette “La Veuve Joyeuse”. La version au saxophone soprano qui figure sur la Deluxe Edition est le seul titre de cette séance ayant connu une sortie précédente. 

Cet album est une incroyable révélation, car il met en jeu un nombre de processus créatifs : développer une mélodie originale en même temps que l'on repense un standard connu ; essayer quelques morceaux d'abord au ténor, ensuite au soprano ; utiliser des techniques plus anciennes, comme ces torrents d'arpèges que l'on appelait sheets of sound, l'expérimentation de faux doigtés, et encore d'autres sons plus nouveaux. Cet enregistrement provient d'une séance essentielle, et qui serait un pivot — sauf que, le fait de la considérer comme un pivot reviendrait à oublier que Coltrane, lui, avait toujours été sur un pivot, qu'il avait toujours appuyé sur l'accélérateur tout en faisant appel à des idées et des mécanismes plus anciens, déjà testés. “Both Directions at Once : The Lost Album” est un ajout majeur au catalogue de Coltrane et la plus importante trouvaille de mémoire récente dans l'univers du jazz. Le bilan de cette séance historique s'élève à 14 titres au total. Sur l'édition standard il y a 7 prises, sélectionnées par Ravi Coltrane. Les prises restantes figurent sur le CD2 de l'album Edition Deluxe. La version standard CD et LP, ainsi que la version Deluxe en CD et en LP, seront disponibles le 29 juin sur Impulse! L'album Edition Deluxe existera également sur toutes les plateformes de streaming numérique. 

 

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23 juin 2018 6 23 /06 /juin /2018 16:16

Ces chanteurs oubliés…

A cette époque là, ‘ils’ chantaient en français… des textes.

C’était, c’était,…

Et oui ! C’était.

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Jean Marchais

  • Chante Aragon

https://www.youtube.com/watch?v=yIkIYAnYcBI

  • Sortilèges

https://www.youtube.com/watch?v=G33Hi7WPbGo

  •  La Vie S'écoule La Vie S'enfuit

 

https://www.youtube.com/watch?v=JteihXK399g

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Ricet Barrier

  • Les spermatozoïdes

https://www.youtube.com/watch?v=ikgrOLJjXRk

  • La servante du château

https://www.youtube.com/watch?v=YxQ3YIN6shU

  • L’enterrement

https://www.youtube.com/watch?v=aQAuEy75B-w

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Boby Lapointe

  • Leçon de guitare sommaire

https://www.youtube.com/watch?v=R3DuHAWNxIY

  • L’été où est-il ?

https://www.youtube.com/watch?v=QF-KeP-sVVE

  • Ta Katie t'a quitté

https://www.youtube.com/watch?v=aJksApHi9bU

  • Avanie et Framboise

https://www.youtube.com/watch?v=hVEk1wiUxa0

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Boris Vian

  • La complainte du progrès

https://www.youtube.com/watch?v=9PTqTjHs5c0

  • Fais-moi mal Johnny

https://www.youtube.com/watch?v=bwlWLnhtfJU

  • On n’est pas là pour se faire engueuler

https://www.youtube.com/watch?v=vpW_eBJKw74

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20 juin 2018 3 20 /06 /juin /2018 10:23

Kurt Weil est un compositeur américain, né en Allemagne d’où il est parti pour fuir le nazisme.

Youkali est une de ses œuvres, chantée ici par Barbara Hannigan et Marion Rampal. Deux registres différents. Doit-on comparer ? Préférer? Pas sûr.

  • Barbara Hannigan

https://www.youtube.com/watch?v=3unBXwN8Cy0

  • Le Quatuor Manfred, avec  Marion Rampal (chant), Marie Béreau et Luigi Vecchioni (violons), Emmanuel Haratyk (alto), Christian Wolff (violoncelle).

https://vimeo.com/61332793

 

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Marion Rampal : http://musicali-daniel-bonin.fr/2015/01/marion-rampal-une-famille-melomane-pour-cette-chanteuse-et-song-writer-francaise.html

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CD ‘Bye Bye Berlin’, sortie fin juin, dans lequel on trouve Youkali. Chez Harmonia mundi. Quatuor Manfred et Marion Rampal.

Site de la Fnac. ‘Au revoir... ou Berlin à jamais ? Au cours des années 1920, tous les regards se tournent vers Berlin. Dans une énergie commune, des artistes de tous bords (écrivains, peintres, architectes, cinéastes, compositeurs...) y fondent les principes de cette “nouvelle objectivité” qui font d’elle l’essence même de la modernité, mais aussi l’écho des grandes villes du monde – New York en particulier, d’où provient le jazz. Pourtant la vie des berlinois n’est pas un roman : grève, misère, émigration, répression, montée du nazisme ; un contexte social d’après-guerre qui contribue à un engouement tout azimut pour le cabaret, soupape vitale où mœurs et critique sociale se libèrent. C’est cet univers éphémère et souterrain du Grand Berlin de l’Ange bleu, que Marion Rampal et le Quatuor Manfred nous invitent ici à redécouvrir, avec la complicité du saxophoniste Raphaël Imbert : un généreux souffle de liberté et d’humanité transmis avec passion ! ‘

 

 

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19 juin 2018 2 19 /06 /juin /2018 19:49
  • C’est presque au bout du monde (document de Mathieu Amalric)

Dans « C’est presque au bout du monde», j’explore un mystère qui me fascine : d’où viennent ces voix inhumaines ? D’où, dans le corps, la troublante anomalie du chant prend-elle sa source ?  - Mathieu Amalric

 

https://www.youtube.com/watch?v=K_C_RG5XTQI

 

  • Hannigan & GSO - LIGETI Mysteries of the Macabre

 

De quoi surprendre.

https://www.youtube.com/watch?v=sFFpzip-SZk

 

               *  Avec Michel Portal - Improvisation

https://www.youtube.com/watch?v=RXlXvcb4mRw

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12 juin 2018 2 12 /06 /juin /2018 10:39

Il y a une communauté de destin et de réflexion entre Annie Le Brun, dont deux entretiens sont à disposition ci-dessous, et Michel Clouscard. Tous les deux sont mis à l’écart par le système du penser correct auquel ils ont refusé de s'offrir, tous les deux font état de ce que Clouscard appelle Le capitalisme de  la séduction, capitalisme dont l’entreprise totalitaire s’empare, phagocyte, corrompt, pour la première l’art, pour le second le progrès, au point que, si nous voulons être au monde et ne pas passer pour des ringards, quitte à perdre le sensible, nous n’aurions d’autre voie que de nous couler consciemment, et surtout inconsciemment, dans le moule.

Il est question de la marchandisation de l’art quitte à le perdre, comme chaque jour il est question de la marchandisation des services publics quitte à les perdre. Au bout, c’est l’être humain, son épaisseur, qui se perd dans le consommateur pour le plus grand profit du Capital.

*

Entretiens proposés par :

 

 

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  • Ce qui n’a pas de prix –Beauté, laideur et politique, Annie Lebrun chez Stock
  •  Le capitalisme de la séduction - critique de la social-démocratie libertaire, Michel Clouscard, aux éditions Delga
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