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7 mars 2020 6 07 /03 /mars /2020 15:59

Source : https://www.liberation.fr/debats/2020/03/06/retraites-les-peuples-europeens-comptent-sur-la-france_1780823

*

  • Retraites : les peuples européens comptent sur la France !

Tribune. Sous couvert de simplification et de durabilité des systèmes de retraite, la Commission européenne exige des réformes des retraites régressives dans tous les Etats membres. Ses recommandations se ressemblent partout : uniformisation des règles, harmonisation des calculs pour faire des économies, et hausse généralisée de l’âge de départ. Voici bien des mots savants pour cacher des intentions plus simples et plus cruelles : faire baisser les pensions et confier le magot des retraites aux fonds de pensions privés. Tout le monde devra travailler plus longtemps pour moins de pension.

Pourtant, ces mêmes recettes produisent partout dans l’Union européenne des mêmes résultats : le nombre de retraités pauvres ne cesse d’augmenter. Pour certaines professions, l’espérance de vie en bonne santé est inférieure à l’âge légal du départ à la retraite. Dans plusieurs pays européens, un retraité sur quatre vit sous le seuil de pauvreté. La France fait jusque-là figure d’exception. Son système de retraites par répartition est l’un des meilleurs du monde : si 7% des retraités y vivent tout de même sous le seuil de pauvreté, c’est moitié moins qu’en Allemagne ou en Suède.

Mais cette réalité est aujourd’hui menacée par le projet de réforme des retraites portée par le président Macron. Le système par points, qu’il veut introduire, vise à limiter en permanence et de manière automatique la part de richesse consacrée au financement des retraites. Ajoutant de l’incertitude sur le montant à venir de la pension, il favorise dans le même temps le recours aux fonds de pension qui viennent tout juste de bénéficier en France de nouvelles exonérations fiscales.

La Suède nous renseigne pourtant sur les conséquences d’un tel système. Depuis son introduction, 90% des femmes et 70% des hommes y ont vu leurs pensions diminuer. Alors qu’en France, le gouvernement assure que la retraite à points est un progrès pour les femmes, la Suède nous montre bien que les femmes en seront les grandes perdantes. En outre, le pourcentage de retraités pauvres y a bondi pour atteindre près de 15%. Et si le gouvernement français refuse la comparaison en inscrivant dans la loi l’impossibilité de faire baisser la valeur du point, il introduit pourtant un âge d’équilibre glissant qui produira exactement le même résultat.

Sous la pression d’un large mouvement social, le gouvernement belge a d’ailleurs dû reculer en 2017. Les travailleurs belges ont alors refusé la «pension à points» qu’ils appelaient une retraite tombola, pour souligner l’incertitude d’un système où l’on connaît à l’avance la valeur du point, mais pas le montant des pensions correspondantes. En Croatie aussi, les syndicats ont réussi à faire reculer leur gouvernement qui voulait augmenter l’âge du départ à la retraite de 65 à 67 ans.

Des retraites plus élevées sont tout à fait payables. L’Autriche l’illustre. L’âge de la pension légale y est toujours fixé à 60 ans pour les femmes et à 65 ans pour les hommes, et les pensions y sont supérieures d’au moins 50% à celles de la Belgique par exemple.

En France comme partout, le combat contre ce projet de réforme est dur. Les salariés des transports publics ont tenu la plus grande grève de l’histoire avec près de cinquante jours de grève. Ils sont aujourd’hui relayés par des travailleurs d’autres secteurs qui rentrent dans la bataille. Les actions symboliques ou artistiques se multiplient, comme à l’opéra de Paris. Et si les grévistes ont engagé une pause pour reprendre des forces, une majorité du peuple français exige avec vigueur le retrait de ce projet.

En tant qu’élu·e, nous portons ensemble cette bataille au sein des institutions, que cela soit en Suède, en France ou en Belgique. Nous regardons les travailleurs français avec admiration et nous savons que leur combat est aussi le nôtre. Car une victoire serait un formidable encouragement pour empêcher, partout en Europe, la destruction des droits conquis par les peuples en lutte!

 

Marc Botenga, député européen (Parti du Travail, Belgique)

Malin Björk, députée européenne (Vänsterpartiet, Suède)

La Délégation France insoumise au Parlement européen : Manon Aubry, Manuel Bompard, Leïla Chaibi, Younous Omarjee, Anne-Sophie Pelletier et Emmanuel Maurel

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2 mars 2020 1 02 /03 /mars /2020 18:58
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25 février 2020 2 25 /02 /février /2020 19:10

Sous couvert de simplification, le gouvernement veut imposer une réforme des retraites régressive. Les annonces du Premier ministre sont claires : cette réforme aura pour conséquence une baisse des pensions et un recul toujours plus important de l’âge de départ à la retraite.

Le contre-projet de réforme des retraites de La France insoumise inclut le départ dès 60 ans, aucune retraite inférieure au seuil de pauvreté, et pour une carrière complète, aucune retraite inférieure au SMIC, une extension de la reconnaissance de la pénibilité, l’intégration des trimestres au RSA dans le calcul de la retraite, ou encore la suppression de la double peine de la décote. Ce projet est défendu avec des solutions de financement.

Le gouvernement doit retirer son projet ! Il ne correspond en rien au modèle social français. Dans les pays où il a été appliqué, c’est un fiasco. Un autre chemin est possible.

 

Contre-projet de la France insoumise (lien ci-dessous):

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25 février 2020 2 25 /02 /février /2020 06:23

Comment ça se passe à l’AN, suivi d’une explication simple de la retraite à points.
Exergue

 

À l'Assemblée, les macronistes refusent les propositions de plusieurs groupes pour faire avancer les débats. Ils bloquent tout pour justifier le 49.3. Et quand on le leur dit... ils coupent le micro !

L’autoritarisme conduit souvent au totalitaire

Dans la contre-réforme : pas de points pour les chômeurs demandeurs d’emploi, non indemnisés.

Mélenchon explique la retraite à points (avec humour) !

 

 

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24 février 2020 1 24 /02 /février /2020 20:31

*     Le rôle d’une ‘cagnotte’ publique dans une grève.

  • La mise en place et à disposition d’une cagnotte syndicale pour donner à la grève la possibilité de réussir.
  • La nécessité de rassembler le grand nombre.
  • L’élargissement des secteurs en lutte.
  • La nécessité du blocage de l’économie pour réussir.
  • La grève doit être sous-tendue par une proposition politique.
  • La base syndicale et la déficience des administratifs syndicaux.
  • La nécessité d’avoir des outils syndicaux.
  • ….

L’émission 

 

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21 février 2020 5 21 /02 /février /2020 21:02

 

A l’attention de ceux qui n’ont pas suivi le meeting de Toulouse et à ceux qui ne sont pas encore au clair sur la contre-réforme (fort bien expliqué).

 

 

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19 février 2020 3 19 /02 /février /2020 04:49

JOURNEE DE GRÈVE ET DE MANIFESTATION

JEUDI 20 FÉVRIER

CARCASSONNE : Rdv à 14h30 Place Davilla

ON LÂCHE RIEN !!!!!

 


SOUTIEN AUX SALARIÉS DE L’ADSEA*

LUNDI 24 FÉVRIER

14h00, devant la PJJ

(Police Judicaire de la Jeunesse)

1 RUE LEDRU ROLLIN – CARCASSONNE

 

La CGT ADSEA a posé un préavis en grève, pour manifester ses inquiétudes et son mécontentement face à l’inexistence de politique associative cohérente.

La CGT dénonce notamment des mesures de contraintes financières qui impactent gravement la continuité des accompagnements éducatifs en protection de l’enfance.

 

 

(*ADSEA, Association de protection de l’enfance et de l’adolescence)

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18 février 2020 2 18 /02 /février /2020 06:33

Ce lundi 17 février commence l’examen à l’Assemblée nationale du projet de loi visant à instaurer la « retraite par points ».

Après des débats houleux en commission, qui ont permis de soulever de nouvelles imprécisions ubuesques du projet de loi (comme cet indicateur sur lequel sera basé la valeur du point et qui... n’existe pas [1]), la loi arrive donc ce lundi dans l’hémicycle. Le débat parlementaire s’annonce interminable, l’opposition (insoumis, communistes, socialistes, Les Républicains et UDI confondus) ayant déposé plus de 40 000 amendements dans une volonté assumée de faire trainer les débats pour gagner du temps et faire « obstruction » au projet de loi.

Une manifestation avait lieu aujourd’hui à Paris à l’occasion de cette nouvelle étape de la réforme des retraites. Elle devait, justement, se rendre de la place de l’Opéra au parvis de l’Assemblée nationale. Quelques milliers de personnes étaient présentes et se sont trouvées bloquées par les gendarmes à leur arrivée devant le parlement. Après quelques bousculades et des interpellations, des prises de paroles d’élus, de grévistes et d’intellectuels se sont enchainées. Frédéric Lordon était notamment présent : « Les éditorialistes peuvent glapir que la démocratie est ébranlée par la bite à Griveaux (sic). Mais nous sommes nombreux à voir que la démocratie est plutôt menacée par les yeux crevés, les mains arrachées (...) et plus encore par la destruction d’un modèle social ! »

 

Intervention de Frédéric Lordon (vidéo) : Frédéric Lordon : « Nous devons les faire partir ! » par Là-bas si j'y suis

reportage : Taha Bouhafs

montage : Jérémie Younes

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17 février 2020 1 17 /02 /février /2020 04:08
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16 février 2020 7 16 /02 /février /2020 06:54

Source : http://www.regards.fr/idees/article/appel-pour-un-comite-de-soutien-aux-mobilisations-sociales

Artistes, sportifs, intellectuels, responsables politiques et associatifs de gauche lancent cet appel : « Nous nous soulevons ensemble contre le projet de retraites du gouvernement ».

 

Représentant.es de luttes, responsables associatifs et politiques, personnalités du monde artistique, sportif et intellectuel, nous nous soulevons ensemble contre le projet de retraites du gouvernement. Son système par points, limitant les dépenses de retraites et prenant en compte l’entièreté de la carrière, augmentera les inégalités, retardera l’âge pour bénéficier d’une retraite à taux plein et consacrera l’appauvrissement des retraité.es. 

Le projet du gouvernement est fortement critiqué de toutes parts, y compris par le Conseil d’État. Face à lui s’est construite une mobilisation historique par sa force et sa durée. Une majorité de la population aspire à un autre système de retraites, qui soit juste, équitable et qui permette de faire de la retraite un nouvel âge de la vie. Cela serait tout à fait finançable comme de nombreuses études l’ont montré. Face à un gouvernement qui reste sourd aux aspirations populaires et face aux violences policières qui se multiplient, nous nous engageons dans la construction d’un comité national de soutien aux mobilisations et dans des initiatives locales. Certains d’entre nous ont déjà signé plusieurs appels allant dans le même sens.

Nous appelons à participer aux grèves et à leur soutien, notamment financier, ainsi qu’aux différentes initiatives de l’intersyndicale. Nous soutenons des mobilisations qui prennent des formes inédites, diverses, ancrées localement et dessinant des convergences qui seront essentielles pour faire face à l’urgence sociale, écologique et démocratique. Les assemblées générales se multiplient dans les lieux de travail et de vie, tout comme les luttes contre la destruction des services publics. Ensemble, elles nourrissent les mobilisations contre le projet de retraites du gouvernement et plus encore, contre la politique d’Emmanuel Macron et son monde, marquée par l’ultralibéralisme et l’autoritarisme.

Nous construirons déjà une assemblée populaire contre la réforme, le 17 février, jour d’ouverture de l’examen du projet à l’Assemblée nationale à proximité de celle-ci. Nous participerons à la nouvelle journée de convergence de grèves et de manifestations le 20 février, ainsi que le 8 mars à la journée de lutte pour les droits des femmes, puisque celles-ci sont parmi les grandes perdantes du projet de retraites. Nous participerons à bien d’autres initiatives, nous en proposerons en accord avec les organisations syndicales et les secteurs en lutte, pour le retrait d’un projet qui participe à la destruction des droits sociaux et pour l’élaboration d’un vrai projet progressiste.

Les premier.es signataires / Comité national de soutien aux luttes

Paul Alliès (politiste, université de Montpellier)
Eric Alliez (philosophe, Paris 8)
Paul Ariès (politiste, directeur de l’observatoire international de la gratuité)
Antoine Artous (revue Contre Temps)
Ariane Ascaride (actrice)
Eliane Assassi (présidente du groupe CRC au Sénat)
Jean-Christophe Attias (universitaire)
Manon Aubry (eurodéputée LFI)
Marie Auffray-Seguette (sociologue, université de Nantes)
Clémentine Autain (députée LFI)
Lorenzo Barrault-Stella (sociologue, CNRS)
Francine Bavay (ECVF)
Esther Benbassa (sénatrice écologiste de Paris)
Rémi Bénos (géographe, université Champollion Albi / GEODE CNRS)
Ugo Bernalicis (député LFI)
Eric Berr (économiste, université de Bordeaux)
Olivier Besancenot (porte-parole du NPA)
Jacques Bidet (philosophe, Paris Nanterre)
Pascal Binet (professeur de Sciences Économiques et Sociales)
Hervé Bismuth (littérature française, université de Bourgogne)
Marianne Blanchard (sociologue, université Toulouse Le Mirail)
Philippe Blanchet (socio-linguiste, Rennes 2)
Pascal Boissel (psychiatre)
Etienne Boisserie (historien, INALCO)
Manuel Bompard (eurodéputé LFI)
Camille Bondon (artiste)
Laurent Bonelli (sociologue, Paris Nanterre)
Sylvain Bordiec (sociologue, université de Bordeaux)
Nicole Borvo Cohen-Séat (sénatrice honoraire)
Ariane Bosshard (designer graphique)
Yannick Bosc (historien universitaire)
Taha Bouhafs (journaliste)
Marie Bouazzi (ancienne présidente de Français du monde - ADFE – Tunisie)
Paul Bouffartigue (sociologue, CNRS)
Marie-Pierre Boursier (communiste et écologiste)
Philippe Boursier (professeur de sciences économiques et sociales)
Thomas Branthôme (historien du droit)
Ian Brossat (adjoint au maire de paris, porte-parole du PCF)
Marie-George Buffet (députée PCF)
Dominique Cabrera (réalisatrice)
Claude Calame (historien, EHESS)
Alice Canabate, vice-présidente de la Fondation de l’écologie politique
Luc Carvounas (député PS)
Jacques Casamarta (Ensemble ! Corse, animateur de l’association Per à Pace, pour la Paix)
Jean-Noël Castorio (historien, université du Havre)
Laurence Cathala (artiste et enseignante)
Manuel Cervera-Marzal (sociologue, EHESS)
Leila Chaibi (eurodéputée LFI)
André Chassaigne (président du groupe GDR à l’AN)
Sébastien Chauvin (sociologue, université de Lausanne)
Gérard Chaouat (directeur recherches émérite CNRS)
Bernard Charlot (sciences de l’éducation, Paris 8)
Céline Ciukierman, (sénatrice de la Loire, porte-parole du PCF)
Hervé Christofol (sciences de l’ingénieur, université d’Angers)
Michèle Cohen-Halimi (professeure de philosophie Paris 8)
Patrice Cohen-Séat (président honoraire d’Espaces-Marx)
Eric Coquerel (député LFI)
Alexis Corbière (député LFI)
Sergio Coronado (ancien député écologiste)
Alain Coulombel (porte-parole d’EELV)
Patrick Coulon (journaliste)
Annick Coupé (secrétaire générale d’ATTAC)
Pierre Cours-Salies (sociologue, Paris 8)
Thomas Coutrot (économiste, DARES)
Bruno Cousin (sociologue, Sciences Po)
Nathalie Coutinet (économiste, Paris 13)
Robert Crémieux, ancien président du MNCP
Isabelle Cridlig (photographe, plasticienne)
Alexis Cukier (philosophe, université de Poitiers)
François Cusset (historien, université Paris Nanterre)
Pierre Dardot, philosophe
Françoise Davisse (auteure réalisatrice)
Laurence De Cock (historienne)
Anne De Haro (juriste, Gauche démocratique et sociale)
Christian Delarue (vice-président Indecosa 35)
Frédéric Delarue (historien, USVQ)
Mathias Delori (sociologue, CNRS)
Christian de Montlibert (sociologue, université de Strasbourg)
Claire Desmitt (sciences de l’éducation, université de Lille)
Pierre Dharréville (député des Bouches-du Rhône)
Vikash Dhorasoo (footballeur international)
Vincent Dubois (sociologue, université de Strasbourg)
Patrick Dubreuil (médecin généraliste)
Jean-Numa Ducange (historien)
Michel Duffour (ancien Secrétaire d’Etat)
Claire Dujardin (avocate)
Marie-Anne Dujarier (sociologue, université Paris Denis Diderot)
Laurence Ellena (sociologue, université de Poitiers)
Didier Epsztajn (animateur du blog entre les lignes entre les mots)
Jean-Baptiste Eyraud (militant du DAL)
Guillaume Faburel (professeur d’urbanisme, Lyon 2)
Patrick Farbiaz (co-fondateur de PEPS)
Didier Fassin (sociologue)
Eric Fassin (sociologue, université Paris 8)
Elsa Faucillon (députée PCF)
Anaïs Feuillette (documentariste)
Caroline Fiat (députée LFI)
Gérard Filoche (porte-parole de la Gauche démocratique et sociale)
Agnès Fine (anthropologue, EHESS)
Bernard Fischer (employé de sécurité sociale)
Marianne Fischman (professeure de sciences économiques et sociales)
David Flacher (économiste, Paris 13)
Bastien François, président de la Fondation de l’écologie politique
Bernard Friot (sociologue, Paris Nanterre)
Bruno Gaccio (auteur)
Jean Gadrey (économiste, université de Lille)
Khaled Gaiji (président des Amis de la Terre)
Afriano Garcia (sociologue, EHESS)
Julie Garnier (oratrice LFI)
Isabelle Garo (professeure de philosophe)
Raquel Garrido (avocate)
Franck Gaudichaud, Politiste, Université Toulouse Jean Jaurès
Florence Gauthier (historienne universitaire)
Frédérick Genevée (responsable de musée)
Susan George (présidente d’honneur d’ATTAC)
Christakis Georgiou (politiste, université de Genève)
Julie Gervais (politiste, Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
François Gèze (éditeur)
Pascale Gillot (philosophe, université de Tours)
Roland Gori (psychanalyste et président de l’Appel des appels)
Camille Gourdeau (anthropologue, université Paris Diderot)
Fabien Granjon (sociologue, Paris 8)
Pierre-François Grond (professeur d’histoire-géographie)
Ozgur Gun (économiste, université de Reims)
Ingrid Hayes (historienne)
Janette Habel (coprésidente Fondation Copernic)
Jean-Marie Harribey (économiste, université de Bordeaux)
Anaïs Henneguelle, (économiste, Rennes 2)
Thomas Hippler (historien, université de Caen)
Etienne Hubert (historien, EHESS)
Michel Husson, (économiste)
Anne Isla, Economiste, (Université de Toulouse)
Pierre Jacquemain (Regards)
Sophie Jallais (économiste, Paris 1)
Chantal Jaquet (philosophe, Paris 1 Panthéon Sorbonne)
Arthur Jatteau (économiste, université de Lille)
Gisèle Jean (professeure de sciences économiques et sociales)
Vanessa Jérome (politiste, CESSP)
Samy Johsua (sciences de l’éducation, université Aix Marseille)
Anne Jollet (historienne, coordinatricce de la rédaction des Cahiers de l’histoire)
Régis Juanico (député Génération.s)
Sébastien Jumel (député de Seine-Maritime)
Pierre-André Juven (sociologue, CNRS)
Sam Karmann (acteur)
Razmig Keucheyan (sociologue, université de Bordeaux)
Pierre Khalfa (économiste, Fondation Copernic)
Pierre Labat (artiste)
Jean-Paul Labro (artiste et vidéaste)
Bastien Lachaud (député LFI)
Thomas Lacoste (cinéaste)
Jean Lafont (militant écologiste, PEPS)
Rose-Marie Lagrave (sociologue, EHESS)
Véronique Lamy (porte-parole du PCOF)
Dany Lang (économiste, Paris 13)
Mathilde Larrère (historienne)
Michel Larive (député LFI)
Marie-Amélie Lauzanne (sociologue, CESSP)
Christian Laval, sociologue
Christian Lazzeri (philosophe, Paris Nanterre)
Yvan Le bolloc’h (acteur et musicien)
Frédéric Lebaron (sociologue, ENS Paris Saclay)
Catherine Leclercq (sociologue, université de Poitiers)
Olivier Lecour Grandmaison (historien, université Paris Saclay)
Rémi Lefebvre (politiste, université de Lille)
Patrick Lehingue (politiste, université de Picardie)
Sandrine Lévêque (politiste, université Lyon 2)
Patrick Le Moal (inspecteur du travail retraité)
Amélie Le Renard (sociologue CNRS)
Jacques Lerichomme (ancien Conseiller Régional PACA)
Jean Lesne (microbiologiste, Ecole des Hautes Etudes de Santé Publique)
Elise Lowy (animatrice de la revue Ecorev)
Michaël Löwy (sociologue, CNRS)
Corinne Luxembourg (géographe, ENSA Paris-La Villette)
Christian Mahieu (revue Les Utopiques)
Pascal Maillard, universitaire
Catherine Malabou (philosophe, ENS Fontenay)
Jean-Pierre Martin (psychiatre)
Christiane Marty (ingénieure, Fondation Copernic)
Corinne Masiero (comédienne)
Gustave Massiah (économiste altermondialiste)
Frédérique Matonti (politiste, Paris 1 Panthéon Sorbonne)
Gérard Mauger (sociologue, CNRS)
Emmanuel Maurel (eurodéputé LFI)
Odile Maurin activiste / handicap
Caroline Mecary (avocate)
Jean-Luc Mélenchon (président du groupe LFI à l’AN)
Denis Merklen (sociologue, Sorbonne Nouvelle-Paris 3)
Daniel Mermet (journaliste)
Guillaume Meurice (humoriste)
Olivier Michel (professeur d’informatique, université Paris Est)
Catherine Mills (économiste, Paris 1)
Benoit Monange, directeur de la Fondation de l’écologie politique
Claire Monod (coordinatrice nationale de Génération.s)
Warren Montag (professeur d’anglais et de littérature comparée, Occidental College Los Angeles)
Cynthia Montier (artiste et autrice)
Bénédicte Monville (conseillère régionale écologiste)
Robi Morder (professeur honoraire en philosophie)
Gérard Mordillat (écrivain)
Arnaud Muyssen (médecin addictologue, CHU de Lille)
Philippe Nabonnand (directeur des archives Henri-Poincaré)
Olivier Neveux (professeur d’études théâtrales, ENS Lyon)
Danièle Obono (députée LFI)
Marc Ollivier (astrophysicien, CNRS)
Younous Omarjee (eurodéputé LFI)
Elise Palomares (socio-anthropologue, université de Rouen)
Mathilde Panot (députée, vice-présidente du groupe LFI à l’AN)
Xavier Papaïs (philosophe)
Monica Passos (chanteuse)
Willy Pelletier (coordinateur général de la Fondation Copernic)
Anne-Sophie Pelletier (eurodéputée LFI)
Jean-François Pellissier (porte-parole d’Ensemble !)
Irène Pereira (philosophe, IRESMO)
Evelyne Perrin (présidente de Stop Précarité)
Ana Perrin-Heredia (sociologue, CNRS)
Christian Pierrel (porte-parole PCOF)
Ernest Pignon Ernest (artiste plasticien)
Roland Pfefferkorn (sociologue, université de Strasbourg)
Dominique Plihon (économiste, Paris 13)
Edmond Préteceille (sociologue, Science Po)
Michel Pinçon (sociologue, CNRS)
Monique Pinçon-Charlot (sociologue, CNRS)
Sophie Pochic (sociologue, CNRS)
Christopher Pollmann (professeur de droit public, université de Lorraine)
Jocelyne Porcher (sociologue, INRA)
Raphael Porteilla (politiste, université de Bourgogne)
Paul Poulain (Emancipation Collective)
Marie-Pierre Pouly (sociologue, université de Limoges)
Christine Poupin (porte-parole du NPA)
Philippe Poutou (porte-parole du NPA)
Raphaël Pradeau (porte-parole d’Attac)
Loïc Prud’homme (député LFI)
Jean Puyade (professeur d’espagnol-retraité)
Adrien Quatennens (député LFI)
Yves Quintal (directeur d’école)
Guillaume Quintin (secrétaire national du PG)
Luc Quinton (artiste plasticien)
Cécile Rabot (sociologue, université Paris Nanterre)
Thierry Ramadier (psychologue, CNRS)
Jean-Hugues Ratenon (député LFI)
Patrick Rayou (sciences de l’éducation, Paris 8)
Emmanuel Renault (philosophe, Paris Nanterre)
Jacques Rigaudiat (économiste)
Denis Robert (Le Média)
Jean-Yves Rochex (psychologue, Paris 8)
Fabien Roussel (député du Nord, secrétaire national du PCF)
Régis Roussillon (professeur de sciences économiques et sociales)
Sabine Rubin (députée LFI)
François Ruffin (député LFI)
Arnaud Saint-Martin (sociologue, CNRS)
Perrine Saint-Martin (designeuse et enseignante)
Catherine Samary (économiste, Paris Dauphine)
Patricia Sander (géographe, université de Strasbourg)
Gisèle Sapiro (sociologue, EHESS)
Georges Sarda (professeur d’espagnol-retraité)
Christina Semblano (conseillère municipale Gentilly)
Patrick Silberstein (médecin, éditeur)
Patrick Simon (démographe, INED)
Maud Simonet (sociologue CNRS)
Danielle Simonnet (conseillère de Paris)
Francis Sitel (revue Contre Temps)
Eric Soriano (sociologue, université de Montpellier)
Marc Soriano (philosophe)
Alfred Spira (épidémiologiste, académie de médecine)
Alessandro Stella (historien, EHESS)
Philippe Tancelin (philosophe, Paris 8)
Bénédicte Taurine (députée LFI)
Jacques Testart (biologiste)
Julien Théry (historien, Lyon 2)
Martin Thibault (sociologue, université de Limoges)
Bruno Tinel (économiste, Paris 1 Panthéon Sorbonne)
Christian Topalov (sociologue, EHESS)
Josette Trat (sociologue, Paris 8)
Aurélie Trouvé (porte-parole d’ATTAC)
Eric Toussaint (CADTM)
Eric Valentin (philosophe, université de Picardie)
Patrick Vassort (sociologue, université de Caen)
Mélanie Vay (politiste, CESSP)
Marie-Pierre Vieu-Martin (éditrice)
Sylvie Vilter (économiste, université de Versailles Saint-Quentin)
Christophe Voilliot (politiste, Paris Nanterre)
Louis Weber (éditeur)
Karel Yon, (sociologue, CNRS/Université Paris Nanterre)
Michèle Zémor vice-présidente agglomération Plaine Commune)
Elisabeth Zucker (sociologue, EHESS)

 

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