J’entends, ici et là, de la part des organisations représentatives des travailleurs, qu’elles sont favorables et appellent à la négociation. C’est mal barré ! Et le gouvernement d’embrayer sur l’aubaine. Les uns et les autres étant d’accord avec l’expression à la mode (souvent à la con) : il y a du grain à moudre.
On ne Né GO CIE pas sur ce qu’on refuse. Négocier la retraite à points c’est l’accepter. Et si on négocie, c’est l’émollient.
On ne négocie pas le type d’arme avec lequel on va mourir, on refuse la mort.
Comme toujours les organisations représentatives des travailleurs, au travers de leurs cadres, le cul dans la graisse, ne sont pas à la hauteur des enjeux. Aussi faut-il les contenir dans le remorquage, dans le suivisme des décisions prises à la base, sur le tas, en AG.
S’il y a négociation ce sera pour un déplacement temporel de la mise en place de la retraite à points. En clair, Les organisations syndicales auront obtenu, par exemple, que seuls les jeunes se fassent baiser, non pas ceux nés après 1963, mais ceux nés après 1973. Bravo papa ! Bravo maman !
Alors, de grâce, dans cette affaire : ne pas laisser la main aux organisations syndicales et à l’encadrement.
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