C’est bon ! Cela suffit ! Quand aura-t-on fini de nous bassiner avec Dsk ?
Il faut être naze pour penser qu’il ne se présentera pas aux présidentielles car, si tel avait été son choix, il ne lui coûtait rien de le dire sans tergiverser. Rien. Le suspense n’est là que pour donner de l’aliment aux médias qui se plaisent à jouer les idiots, pour noircir des pages, faire du bruit mais guère de fureur, abuser les gogos.
Il faut être d’autant plus naze que, dernièrement, la femme de RatMinaGrobis, en émissaire de la parole voilée de son mari, a donné les précisions utiles pour faire patienter jusqu’à son arrivée.
Puisque la chose est claire, je vais donner ma position.
Je ne voterai pas pour Dsk. Au premier tour, normal. Au second tour, si par impertinence le cas se présentait, également.
Sarko repeint en rose, très peu pour moi. Comme aurait dit le camarade Duclos : « Tout ça c’est bonnet blanc et blanc bonnet ».
J’ajoute que voter Dsk c’est accréditer l’idée que le socialisme est miscible dans le libéralisme. Pas le mien.
La France, le Monde, crève de cette idée qu’il n’y a qu’une voie, qu’une option, qu’un chemin. Celui du libéralisme. Il faut mettre un terme à cette foutaise. Et d’abord chez nous, puisque que chez nous nous concerne au premier chef.
Le PS, s’il se choisit Dsk comme candidat, je le prédis, aura fait le dernier saut qu’il ne fallait pas faire pour se couper définitivement du peuple de gauche. Comme dit l’autre, il est du bord du gouffre, avec le choix de Dsk, il aura fait un grand pas en avant.
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