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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 05:20

 

Laïcité

 

http://www.ufal.info/feminisme-et-laicite/a-propos-des-%C2%AB-commissions-departementales-de-la-liberte-religieuse-%C2%BB/6068#more-6068

 

http://www.ufal.info/feminisme-et-laicite/la-lai%CC%88cite%CC%81-pour-tous/6035#more-6035

 

 

MES

 

http://jacquesgenereux.fr/news/le-mes-n-est-pas-un-mecanisme-de-solidarite-europeen

 

http://www.alternatives-economiques.fr/laxisme-monetaire-et-austerite-budgetaire---un-melange-indigeste_fr_art_633_58356.html

 

 

Libertés

 

 http://tempsreel.nouvelobs.com/high-tech/20120306.OBS2998/la-loi-sur-le-fichage-de-tous-les-francais-adoptee-a-l-assemblee.html

 

Programmes comparés

 

http://simplyleft.wordpress.com/2012-comparez-les-programmes/

 

 

Grèce

 

http://www.okeanews.fr/achete-mes-armes-je-te-donnerai-du-mordorandum/

 

 

Mélenchon

 

public sénat: http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/m-lenchon-pousse-hollande-gauche-222303

 

Agora Vox http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/melenchon-la-voiture-balai-de-111652

 

i-télé: http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=7EIDhAhRgz0

 

libé: http://www.liberation.fr/politiques/01012394362-melenchon-appelle-les-francais-a-une-insurrection-civique

 

i-télé: http://www.dailymotion.com/video/xp7nsf_j-l-melenchon-grand-rendez-vous-itele_news?start=1#from=embediframe

 

place au peuple: http://www.placeaupeuple2012.fr/presidentielle-moment-d%e2%80%99education-populaire/

 

 

Melenchon dans les médias:

Invité de "Salut les terriens" sur Canal +
samedi 10 mars 2012 19:00

Invité de "C politique" sur France 5
dimanche 11 mars 2012 17:45

 

 

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 02:01



Lu sur le site Acrimed


Les nouveaux chiens de garde font leur cinéma
par Acrimed, le 11 janvier 2012

 

En 1997, deux ans après le mouvement social de novembre et décembre 1995, la publication des Nouveaux chiens de garde, le livre de Serge Halimi, avait jeté un sacré pavé dans le marécage. Les bouledogues et les toutous sont de retour : ils sont sur grand écran, grâce au film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat. Allez les voir !

 

Depuis une quinzaine d’années, des livres (comme ceux de Pierre Bourdieu et Serge Halimi), des films (comme ceux de Pierre Carles), des journaux (comme PLPL, puis Le Plan B) et l’association Acrimed (son site et désormais, Médiacritique(s), son magazine) contribuent à une critique radicale et intransigeante des médias qui s’était assoupie pendant les décennies précédentes. Le film, à la fois analytique et pamphlétaire, reprend et prolonge cette critique avec une rare efficacité : on ne sera pas surpris que nous le pensions, puisque le combat que livre ce film est aussi le nôtre (et que nous agissons depuis longtemps ensemble avec les réalisateurs et les auteurs) !

 

Les grincheux diront (et certains l’ont déjà dit) : « On le savait déjà ! » Mais pourquoi ne le disent-ils pas publiquement, plus souvent, et à un large public ? Les demi-habiles, que la satire défrise quand ils n’en sont pas les auteurs, diront : « C’est plus complexe ». Et il est toujours bon de l’affirmer, puisque c’est toujours vrai et vrai de tout. Mais tandis que les très-subtils se perdent dans les méandres de la complexité qu’ils caressent et qu’ils se bornent souvent à proclamer parce qu’elle les protège de toute prise de position, les chiens de garde aboient… et la (petite) caravane des forts en thème continue de se gargariser.

 

Pourtant les choses sont simples : « Mon pouvoir, excusez-moi, c’est une vaste rigolade. Le vrai pouvoir stable, c’est le pouvoir du capital. Il est tout à fait normal que le vrai pouvoir s’exerce.  » On pourrait s’arrêter sur cette phrase de Franz-Olivier Giesbert [1] et considérer que tout est dit. Ce n’est pas tout à fait exact… Il y a bien d’autres choses à dire. Et le film, sur le ton satirique qui est le sien, le dit. En très résumé, c’est dans la bande annonce :

Indépendance, objectivité et pluralisme : les ambitions fièrement affichées par les très hauts gradés des principaux médias ne résistent pas à l’épreuve. Certes, la France n’est pas la Corée du Nord... Mais, grâce à ce film, et entre autres, on apprendra comment la rédaction de TF1 protège les intérêts de son employeur le groupe Bouygues ; on découvrira comment les mandarins du journalisme se vendent (et quels sont les tarifs de leurs « ménages ») ; on appréciera les prestations des experts en expertise qui papotent partout et s’égarent souvent : pathétiques gardiens de l’ordre économique et social, qui, de Michel Godet à Élie Cohen en passant par Alain Minc, tournent en boucle entre les entreprises et les plateaux de télé sans cesser de marmonner la même antienne libérale depuis plus de vingt ans. Et parce que rien n’est plus efficace que le témoignage des intéressés eux-mêmes, la voix off, caustique, laisse la parole à la ribambelle des vedettes en tout genre : éditocrates, patrons, présentateurs, pseudo-savants. De moins médiatiques invités (par les réalisateurs) ponctuent le scénario de quelques remarques acides : les économistes Frédéric Lordon et Jean Gadray, le journaliste Michel Naudy, le sociologue François Denord et Henri Maler, l’un des fondateurs d’Acrimed.

 

Et comme ce film n’est pas un simple produit de consommation – livré aux consommateurs de contestation – qu’il n’est, somme toute, qu’un point de départ et non un point d’arrivée, sa projection sera suivie un peu partout de débats, dont vous trouverez la liste ici      link.
Qu’on se le dise !
Acrimed

Pour en savoir plus, un site : « Les nouveaux chiens de garde »       link

Sur le site Les nouveaux chiens de garde vous trouverez une liste plus large des salles de cinéma et les horaires de projection.
Vous trouverez des avis sur Première.fr      link
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14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 15:57
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13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 15:52


 

2 articles de Laurent Pinsole, publiés dans Marianne (8 et 9 juin 2011)

 

                                     Jacques Généreux fustige la libéralisation et le capitalisme (1)

http://www.marianne2.fr/Jacques-Genereux-fustige-la-liberalisation-et-le-capitalisme_a207083.html|

L'économiste Jacques Généreux, engagé en politique auprès du Parti de gauche, a publié « la Grande Régression ». Laurent Pinsolle a compulsé cette synthèse de la pensée de Généreux et de ses nombreux ouvrages.


L’économiste du Parti de gauche, qui a longtemps officié au Parti socialiste, a publié il y a quelques mois  la Grande Régression, une synthèse abordable de sa pensée et des nombreux ouvrages qu’il a pu publier (et notamment La dissociété, dont j’avais écrit une revue en trois parties).

 

Le procès de la libéralisation

Comme avec Jacques Sapir, l’intérêt de l’analyse de Jacques Généreux est qu’elle est systémique, prenant en compte la libéralisation du commerce et de la finance. Mais si le premier y ajoute une dimension plus historique, le second y ajoute une analyse plus psychologique et philosophique, sur laquelle je reviendrai demain. Au global, les analyses des deux auteurs sont extrêmement proches. Ils mettent tous les deux en cause la libéralisation généralisée de l’économie depuis les années 1970.


Pour lui, les pays du Nord « ont placé leurs propres travailleurs en état de guerre économique (…) ; ils ont restauré les pleins pouvoirs du capital en déréglementant les transactions financières et en étendant le principe du libre-échange ». « En instituant une libre concurrence entre des pays où les standards de rémunération, de droits sociaux, de sécurité sociale et d’imposition des revenus sont très différents, la généralisation du libre-échange ne peut avoir d’autre effet ni d’autre but que de miner la compétitivité de ceux qui ont les standards les plus élevés ».


Il critique la libéralisation des mouvements de capitaux, et souligne « qu’un marché où la compétition est sans limites n’institue pas un doux commerce profitable à tous les hommes, mais une guerre impitoyable où les gagnants accumulent toujours plus de moyens pour renforcer leur domination ». Il critique un système où l’on oppose « les poids mouches aux super-welters ». Pour lui, « ce que le capitaliste revendique en réalité, dans son appel au marché libre, c’est la liberté d’agir à sa guise pour dominer tous ses concurrents au sens large, c’est à dire tous ceux qui se mettent en travers de sa course au profit ». En fait, « la libre concurrence susceptible de menacer les profits est en même temps l’outil nécessaire à l’élimination de la concurrence, car elle n’est au fond que la loi du plus fort qui élimine les plus faibles ».


Il dénonce également les inégalités entre une Bourse « sangsue qui pompe bien plus de revenus aux entreprises qu’elle ne leur fournit de capitaux propres » mais aussi les inégalités de revenus en soulignant qu’à un certain niveau, elles ont un effet démobilisateur  pour la majorité de la population. Il critique vertement le modèle étasunien, sa violence, sa pauvreté et souligne qu’au contraire, ce sont nos services publics qui font que la France attire toujours autant de capitaux.

 

Jacques Généreux synthétise les mouvements de l’histoire ainsi : « la phase précédant la Grande Régression avait enclenché une dialectique positive dans laquelle le capitalisme s’adaptait aux exigences de la société. La contre-révolution néolibérale des années 1980 a mis ce moteur dialectique en marche arrière, contraignant désormais la société à s’adapter continuellement aux exigences toujours plus hautes du capital ». Puis il s’attarde un peu plus longuement sur la crise que nous traversons.


Il souligne justement que les attaques contre quelques capitalistes (Madoff, Kerviel) sont surtout un moyen « d’épargner le capitalisme ». Il montre que plus qu’une régulation de la finance, c’est à une « régulation des Etats conforme aux attentes des marchés financiers » que l’on assiste. Il note que « la capacité de notre société à survivre à une crise mondiale de la finance affaiblit la contestation du système fauteur de crise », indiquant la victoire de la lecture néolibérale de la crise.

 

Il souligne les dangers de la couverture des risques, qui distord les intérêts des banques : « imaginez que vous puissiez vous assurer contre le risque d’incendie non seulement chez vous, mais aussi chez n’importe qui : voilà de quoi susciter des vocations de pyromanes ! ». Il rappelle que la baisse du pouvoir d’achat a été compensée par l’endettement des ménages. Enfin, il attaque le plan européen « d’aide » à la Grèce en disant qu’il revient à « pratiquer une saignée sur un patient en pleine hémorragie ».


Ce nouveau livre de Jacques Généreux a l’intérêt de représenter une synthèse extrêmement bien balancée des carences de notre système actuel. Demain, j’étudierai son volet sociétal.

(1) Source : Jacques Généreux, La grande régression, Seuil

 

                                         Jacques Généreux fustige la libéralisation et le capitalisme (2)

http://www.marianne2.fr/Jacques-Genereux-fustige-la-liberalisation-et-le-capitalisme-2_a207097.html

L'économiste Jacques Généreux, engagé en politique auprès du Parti de gauche, a publié « la Grande Régression ». Laurent Pinsolle a compulsé cette synthèse de la pensée de Généreux et de ses nombreux ouvrages. Après avoir mis en cause la libéralisation économique, il expose la thèse de la « dissociété ».

Outre une synthèse utile de la grande régression économique qui touche nos pays dits développés, Jacques Généreux développe également une analyse plus sociétale et politique de cette crise, en proposant une synthèse actualisée de sa thèse de « La dissociété ».

 

 

La guerre des idées

Jacques Généreux avait déjà beaucoup développé la question idéologique dans « La dissociété », expliquant la montée du néolibéralisme au tournant du siècle dernier. Il revient sur ce paradoxe qui veut que « tandis qu’une minorité semble profiter outrageusement d’une dynamique destructrice pour la vie du plus grand nombre, aucune force politique majoritaire n’émerge pour imposer une autre voie ». Pour lui, la société néolibérale secrète les ferments de son maintien.


Tout d’abord, elle parvient à faire passer l’idée qu’il n’y a pas d’autres politiques possibles. Ensuite, il faut déplacer le débat. Pour lui « plus on entend livrer une société à la libre compétition des intérêts privés, plus on doit se préparer à contenir les conflits et la violence par des normes sociales et des institutions répressives ». Et donc, pour Jacques Généreux, cela conduit à une poussée identitaire et conservatrice, puis un rejet de l’autre et notamment de l’étranger.

 

La guerre sociétale

Mais l’auteur complète son analyse en montrant que le libertarisme économique s’appuie sur une poussée libertaire plus générale. Il souligne « qu’à la fin des années 1970, hormis quelques philosophes et écologistes, personne n’a la hantise d’une société trop libérale ou d’un excès d’individualisme ». Pour lui, « la grande régression pousse d’abord à leurs limites les traits libertaires de la modernité pour n’instaurer, finalement qu’une nouvelle aliénation ».


Jacques Généreux en profite pour revenir à sa théorie d’organisation des sociétés, cœur de « La dissociété » qui distingue « dissociété individualiste », « dissociété communautariste », « hypersociété » et « société de progrès humain » en fonction des liens intra et intercommunautaires. Il y voit une cause de la permissivité et du manque d’éducation des enfants, du délitement de l’école républicaine et de la violence. Pour lui, le néolibéralisme ignore la nature profonde de l’homme, être social.

 

Il conteste fermement le « mythe des marges de manœuvres disparues » car pour lui, « la mise en œuvre des réformes néolibérales ne manifeste aucune défaite du politique, mais bien au contraire, la victoire durable d’une politique ». Il utilise une image assez spectaculaire : « on voudrait nous suggérer que nous n’avons plus de bras, jusqu’à nous faire oublier la scie qui est en train de nous amputer » et critique fortement l’Europe, parlant même de « soft fascisme » au sujet du TCE.


Pour lui « la fonction politique fondamentale d’une extension globale et d’une intensification locale de la compétition : contourner et finalement abolir le débat démocratique en instituant des conduites à sens unique imposées par une nécessité artificielle de survivre à la compétition ». En 5 ans, Jacques Généreux est devenu plus critique vis-à-vis de ses anciens camarades socialistes, « pseudo-progressistes » qui « dénoncent des symptômes mais pas la maladie ».


Il dénonce une gauche qui « cherche d’abord à gagner des élections », qui « est devenue la championne de l’inconsistance idéologique et a perdu la confiance des classes populaires ». En revanche, quand il soutient que la doxa néolibérale a perdu de sa vigueur à la fin des années 1990, il omet le débat sur « l’autre politique », porté par Philippe Séguin et Jean-Pierre Chevènement, les éclaireurs politiques de la pensée politique alternative dont il fait partie.


Malgré quelques petits bémols, ce livre est une bonne synthèse, très différente de celle de Jacques Sapir, plus sociétale et psychologisante. En outre, il permet d’accéder dans une version simplifiée et plus grand public à la pensée très intéressante de Jacques Généreux.

 

 

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 10:43

 

Il y a 2 décennies, les journalistes français - nous avec-  tournions en dérision la Pravda, journal du type la voix de son maître. Nous pensions avoir une presse libre. Et certainement l’avions nous, autant que pouvait l’être celle qui était moins contrainte que celle des démocraties populaires si on oublie que l’Ortf du début de la 5ième république était aux ordres du politique.

 

Commençons par un petit rappel historique. Dans l’esprit du Conseil national de la Résistance, des ordonnances (1944) entendent assurer « la liberté de la presse,…son indépendance à l’égard des puissances d’argent,…. ». Il s’agissait d’empêcher toute concentration, de garantir le pluralisme de la presse selon la formule « un homme, un titre ». De Gaulle ne signera pas les décrets d’application.

Aussi, dans les années 70, un mouvement de concentration s’opère. Le groupe Hersant prend le contrôle de journaux tant nationaux que régionaux. Pour lutter contre cela, dans les années 80, le gouvernement socialiste de P. Mauroy fait un projet de loi dans l’esprit des ordonnances de 44. En 1984 le Conseil constitutionnel vide la loi de sa substance ce qui laisse les coudées franches à la concentration. Le groupe Hersant possède alors 30% des quotidiens parisiens, 20% des quotidiens régionaux, ce qui fait écrire en 1987 à Michael Palmer, journaliste au Monde Diplomatique, « 1 français sur 5 lit une publication Hersant ».

Depuis tout s’est accéléré. A ce jour, les 2 plus grands groupes de médias (Socpresse, Hachette Filipacchi Médias) sont sous la coupe de puissants industriels d’armement, le 3ième (Ouest-France) étant seulement un groupe de presse, mais toutefois un groupe. Les 10 premiers groupes français de presse produisent 62% du chiffre d’affaire du secteur

Ainsi au contrôle politique de l’information de l’ère de Gaulle succède un contrôle industriel ce qui pose tout autant le problème de l’indépendance de la presse. Mais qu’on y prenne garde ceci demeure un contrôle politique tant les relations amicales et d’intérêts entre politiques et industriels sont étroites.      

Ceci n’est pas sans conséquence sur l’indépendance/la dépendance de nombreux journalistes qui sont qui sont davantage dans le rôle du chien que dans celui du loup de la fable de La Fontaine, ce qui serait de peu d’importance si le droit à l’information objective et critique, la démocratie n’était pas en jeu.

De fait, servilité oblige, ce n’est pas ici, en France, qu’un journaliste court le risque de se faire défunter comme cela est arrivé en Russie pour Anna Politkowskaïa qui n’était - faut-il le noter - que le 21ième journaliste assassiné depuis l’élection de Vladimir Poutine. Et c’est tant mieux. Mais il faut avouer qu’il y a de quoi sourire quand c’est d’un ex-pays de l’empire des soviets que la résistance advient tandis que la censure, voire l’autocensure se développe chez nous. A l’époque des soviets les journalistes récalcitrants courraient le risque du Goulag, en France le seul risque qu’ils encourent c’est d’être licenciés…au pire - pour l’instant -d’être interpellés au petit matin comme cela est arrivé dernièrement.

 

Il n’est pire Pravda que celle qui ne se lit pas comme telle, qu’on feint par paresse ou couardise de méconnaître. Il n’est pire Pravda que celle qui s’épanouit de manière quasi civilisée, dans l’apparence de la liberté et, avec, à l’intérieur, le concours de journalistes complaisants.

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