Je ne regarde plus et n’écoute plus la télé. A quoi bon ? Sinon pour suivre les matchs du tournoi des 6 nations ou visionner sur l’ordi les excellents films que propose Arte en replay (rediffusion).
Hier, par hasard, je tombe, pour aussitôt passer sur la chaine qui diffuse les matchs, sur l’annonce qui informe que faute de places les malades de la Covid sont convoyés sur des hôpitaux en province ou à l’étranger. Un air de déjà connu. Il y un an c’était le même cinéma, résultat d’une politique qui, depuis de nombreuses années, libéralisme oblige, a réduit (détruit) le nombre de places en milieu hospitalier. Le zèbre de l’Élysée avait promis qu’au sortir du premier confinement (incarcération de la population) un grand plan allait être lancé. On l’attend encore. La politique du flux tendu continue ; rentabilité gestionnaire quand tu nous tiens ! Continue également la pénurie. Après celle des masques, celle des vaccins. Comme continuent les annonces du gouvernement qui sont de purs mensonges quand il est dit que tout va pour le mieux alors que tout va pour le mal.
Aujourd’hui, je tombe sur cet article des Crises (ci-dessous). Je le lis, histoire de prendre la température et de sortir de ma misanthropie. Je vous invite à en faire autant. Instructif ! Nous ne sommes pas sortis de l’auberge avec le guignol qui nous préside et les veaux (je suis gaulliste à mes heures) qui, dit-on, s’apprêtent à le re-présidentialiser (sans moi, il me reste encore quelques neurones et un peu de bon sens).
Combien de temps tout ceci va-t-il durer ? Nul ne le sait. Nous sommes partis pour perpète.
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