L’Église, en tant qu’institution, a du mal, dans un premier temps : à reconnaître, dans un second : à condamner la pédophilie, les prêtres qui se tapent les nonnes (voir le document ci-dessous).
L’Église sait, mais elle pratique l’omerta.
Tout au plus, quand c'est trop voyant, file-t-elle au délinquant une autre affectation (ce qui peut permettre à ce dernier de renouveler les cheptel)
Pourquoi l’Église ne consent-elle à bouger que sous la contrainte publique ? Pourquoi ne fait-elle rien avant, alors qu’elle sait ? Serait-ce parce qu’elle trouve la situation satisfaisante pour ses ‘hommes’ ?
Parce que l’Église c’est une affaire d’hommes, c’est l’histoire de la domination des mâles sur les femelles. Ceci dès l’origine. Qu’on y songe. Au début, il y a Dieu (pas une déesse), et faut voir dans quelle condition il conçoit Jésus (faut y réfléchir), dont la mère est Marie, d’ailleurs femme de Joseph. Puis, autour de Jésus : que des mâles (les apôtres), et ainsi de suite : pas d’évangiles écrits par des auteures. Et aujourd’hui : pas de papesses, pas de cardinales, pas d’évêquesses, pas de curettes,…. Certainement faut-il comprendre que l’Église est misogyne, machiste.
Affaire d’hommes, affaire de pouvoir, affaire de domination. Les enfants comme les nonnes sont des aisément dominés. Et quand la bistouquette démange, il arrive ce qui arrive.
Exergue