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3 février 2021 3 03 /02 /février /2021 19:33

À écouter

 

Intervention de Jean-Luc Mélenchon à l'Assemblée nationale le 1er février 2021 contre le projet de loi dit de renforcement « des principes républicains ». Le président du groupe « La France insoumise a dénoncé une loi inutile et dangereuse qui va semer de la division dans le peuple français en stigmatisant les musulmans. Après avoir rappelé que le gouvernement a réussi à mettre d'accord contre cette loi tous les cultes, le député insoumis a interpellé la majorité sur les défis qui sont devant nous. La pandémie, le dérèglement climatique, les 800 plans sociaux, les 10 millions de pauvres, l'augmentation du gaz, des péages, de l'électricité, les millions de personnes à l'aide alimentaire... Alors que le Parlement va discuter pendant deux semaines du voile, de la polygamie, des certificats de virginité, du contenu des cantines scolaires ou de la mixité dans les horaires des piscines. Jean-Luc Mélenchon a dénoncé ensuite l'hypocrisie du gouvernement. Il a parlé des différents séparatismes qui existent bel et bien dans notre pays dont il n'est pourtant pas question dans cette loi : le séparatisme social des riches, le séparatisme religieux du Concordat, le séparatisme institutionnel de l'Union européenne. Le Président du groupe La France insoumise a rappelé que l'État est indifférent aux religions et que c'est le gage de notre liberté. Puis il a dénoncé l'amalgame insupportable entre islam et islamisme. Il a pris à partie l'Assemblée en demandant aux députés quand les musulmans avaient manqué à l'appel de la patrie. Jean-Luc Mélenchon a conclu son discours en disant que la France est grande parce qu'elle fait France de tout bois et que l'amour de la République, comme tout amour, ne vaut rien sous la menace.

 

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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 17:27

Aude Lancelin reçoit Louis Fouché, médecin réanimateur à Marseille, porte-parole de Réinfo Covid, pour un grand entretien sur la gestion sanitaire du Covid-19

 

 

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20 janvier 2021 3 20 /01 /janvier /2021 06:50

Le professeur Perronne est débarqué de ses fonctions…

 … car tout le monde le sait, il n’y a de Pravda qu’au service du gouvernement, sinon c’est le goulag. Non, cela ne se passe pas au pays des Soviets, mais bien en France, pays où la liberté d’expression, la liberté tout court, va en s’amenuisant.

Exergue

 

 

 

‘Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté’ – Guy Béart

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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 06:29

On aurait grand tort de ne pas être attentif aux restrictions faites à la liberté. Liberté d’informer et donc d’être informé. Mais c’est à un phénomène plus ample que nous assistons. Ceux qui nous gouvernent n’ont de cesse de savoir quelles sont nos opinions politiques, philosophiques, nos appartenances syndicales,… et il faut poser la question : à quelles fins ?

Exergue

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16 janvier 2021 6 16 /01 /janvier /2021 11:23

Tomber de Charybde en Scylla, telle pourrait être l’effet de la vaccination.

Et c'est là que nous nous apercevons que nous ne pouvons laisser (déléguer) aux gouvernants la liberté de choisir à notre place. Ce qui pourtant est le cas.

Une méditation sur le choix entre la protection individuelle et collective.

Exergue

 

‘Protéger sa personne bien sûr ! Mais quid du risque collectif ? Ou de la responsabilité individuelle de se vacciner à la responsabilité collective de ne pas le faire pour protéger l'humanité… Par Jacques TESTART (membre du CRIIGEN et de Sciences Citoyennes) Le risque que l’organisme d’une personne vaccinée soit le siège d’une recombinaison virale défavorable est infime. Mais le nombre considérable des vaccinés dans le monde - par centaines de millions ou davantage - fait qu'il est très probable que cela arrive quelque part, et qu'un virus bien plus virulent se dissémine dans les populations, vaccinées ou non. Alors l'argument responsabilisant "Si tu ne te fais pas vacciner, tu fais courir un risque aux autres" se retourne, en faisant de chaque vacciné un nouveau foyer potentiel ! Se vacciner, à coup sûr bénéfique pour soi, peut être irresponsable pour l'espèce. Les mêmes recombinaisons peuvent survenir après infection naturelle (81 millions de cas début janvier 2021), mais deviennent beaucoup plus probable après vaccinations (plusieurs milliards de personnes ?). Alors que faire ? On se retrouve dans la même situation individuelle qu'avec la surconsommation qui aggrave les atteintes à l’environnement : la responsabilité serait de s'abstenir plutôt que consommer si le collectif importe davantage que le bien-être/confort de chacun. Le choix de ne pas se vacciner pourrait illustrer l’inversion de la responsabilité telle que définie par les injonctions officielles, au nom du souci des autres... En l'absence de médicaments efficaces, on ne sortira de ces contradictions qu'avec l'arrivée de vaccins "classiques" à virus inactivés ou protéines recombinantes.’

 

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4 janvier 2021 1 04 /01 /janvier /2021 06:49

Mourons, et nous serons intouchables. Que dis-je ? Exemplaires. Il ne faut pas toucher à un mort. Mais le parer de vertus. Parce qu’on va jusque là.

Cela m’a toujours paru un manque de discernement, une déficience mentale, une hypocrisie totale. Le souvenir que nous devons garder des morts est celui de ce qu’ils ont été de leur vivant. La mort n’effectue pas une transmutation, pas plus que le plomb ne se transforme en or.

Dans les fadaises courtoises, il est cette autre, qu’on entend tous les jours, qui consiste à critiquer une politique mais en s’interdisant, on le dit haut et fort, de d’en prendre aux individus, comme si les individus n’étaient pas producteurs et metteurs en scène de cette politique.

L’article ci-dessous ne fait pas dans l’escroquerie.

Exergue

*

Source :The Telegraph, Daniel Hannan
 

La Constitution européenne est un condensé tout ce qui ne va pas à Bruxelles

Chaque fois que je voyais Valéry Giscard d’Estaing, une ligne de Mallarmé me venait en tête : « Si extraordinairement distingué, quand je lui dis bonjour, je me fais toujours l’effet de lui dire merde » [en français dans le texte, NdT]

C’est exactement ce que j’ai ressenti lorsque, au début de la Convention européenne en 2001, j’ai commis l’erreur de demander à l’ancien président français, décédé la semaine dernière, si son objectif était vraiment de reconnecter l’Europe à ses peuples, était-il logique qu’il réquisitionne la plus grande suite d’hôtel de Bruxelles, avec le salaire et les dépenses afférentes.

Sa réponse : « Il faut être à l’aise », m’a fait me sentir tout petit. Mais c’était aussi la voix authentique de l’élite européenne : pompeuse, hautaine, imbue d’elle-même.

La Convention européenne a été la dernière grande incursion de Giscard en politique. Vingt ans après avoir quitté l’Élysée et à quelques semaines de son 76e anniversaire, il voulait donner à l’UE cet attribut final et définitif d’un État, une constitution écrite. Réunis au domaine royal belge de Laeken, il a convoqué divers eurocrates et hauts dignitaires associés à ce qu’il a appelé « notre moment de Philadelphie », se comparant à Thomas Jefferson (de manière inexacte et prétentieuse puisque Jefferson n’était pas présent lors de la rédaction de la Constitution américaine, il était ambassadeur à Paris).

Il en est ressorti un document ouvertement destiné à achever la transformation de l’UE d’une association de nations en une fédération. Giscard et les autres auteurs, se considérant comme les pères fondateurs d’un nouvel État, se sont assis et ont attendu que les peuples d’Europe leur manifestent leur gratitude. Mais les peuples d’Europe avaient d’autres idées. Un référendum en France en mai 2005 a abouti à un vote négatif à 55/45 %. Deux semaines plus tard, les électeurs néerlandais ont exprimé un rejet encore plus catégorique : 62/38 %.

Ce qui s’est passé ensuite a résumé tout ce qui n’allait pas avec Bruxelles et a mis la Grande-Bretagne sur la voie du retrait. Les dirigeants européens auraient pu profiter de l’occasion pour proposer quelque chose de moins centralisateur. Au lieu de cela, ils ont choisi de faire adopter la Constitution à marche forcée. Les électeurs ont été traités non pas comme l’autorité suprême d’une démocratie, mais comme un obstacle gênant. Le texte a été légèrement mélangé, ses clauses ont été renumérotées et il s’appelle désormais « Traité de Lisbonne » plutôt que « Constitution européenne ». Les meilleurs juristes de Bruxelles et des capitales des pays alliés ont été mobilisés pour trouver des moyens d’éviter d’autres votes.

Ce qui est extraordinaire, c’est que Giscard a admis ce qui se passait. « Les propositions du traité constitutionnel », écrivait-il dans une lettre ouverte au Monde en 2007, « se retrouvent dans leur intégralité dans le Traité de Lisbonne, mais dans un ordre différent. » Et pourquoi ce relookage était-il nécessaire ? « Avant tout, pour éviter d’avoir des référendums. »

C’était du pur Giscard – si effrontément méprisant qu’il en était presque séduisant. C’était comme s’il jouait le rôle d’un Eurocrate méprisant. Et en vérité, il y a toujours eu un aspect spectaculaire dans la carrière de Giscard. Même s’il se considérait comme un libéral, sa politique était monarchique dans le style et impériale dans le fond. En tant que président, il était attaché au faste et au protocole, et il avait un faible particulier pour les grands projets financés par l’État : TGV, centrales nucléaires, Airbus.

C’était un anglophile à sa façon, ou du moins un admirateur d’une version anglaise de PG Wodehouse [auteur humoriste anglais, Giscard aurait pu faire partie des personnages qu’il décrivait, NdT], pleine de comtes et de demeures seigneuriales. Mais son insistance à défendre sa propre dignité ne peut être décrite qu’avec le mot français hauteur.

Vers la fin de sa vie, Giscard a acheté et restauré le château d’Estaing, petit village de l’Aveyron, comme pour justifier l’acquisition par son père du nom aristocratique « d’Estaing » deux ans avant sa naissance. À Bruxelles, comme à Paris, il était souvent la caricature snob de la façon dont un dirigeant est censé se comporter.

Napoléon aurait, selon un de ses biographes, « fait la faute de tous les arrivistes, celle d’avoir une trop haute opinion de la classe dans laquelle il s’était élevé. » Giscard avait certainement une opinion exagérée des élites européennes, convaincu qu’il était de leur devoir de corriger les erreurs d’une population ignorante. Mais finalement, il est difficile de dire mieux que Margaret Thatcher : « Si seulement, disait-elle, il avait vraiment été aussi éclairé qu’il le pensait. »

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26 décembre 2020 6 26 /12 /décembre /2020 13:42

Faut-il toujours avoir perdu quelque chose pour en mesurer l’importance ? Il se peut. Mais ceux qui n’auront jamais possédé cette chose n’auront jamais le sentiment de son importance et de l'avoir perdue. Le monde se transforme de notre veulerie, mais ce n’est pas nous qui vivrons ce monde transformé.

Signez la pétition.

Exergue

*

Source : http://www.gaucherepublicaine.org/a-la-une/non-a-lextension-du-fichage-policier/7419403

 

Au moment même où la loi dite de « sécurité globale » et où la « doctrine du maintien de l’ordre » rencontrent une opposition déterminée, alors que se multiplient les violences policières, le gouvernement vient de promulguer en catimini trois décrets étendant le fichage policier !

Les décrets du 2 décembre 2020 permettent en effet la collecte « des opinions politiques, des convictions philosophiques, religieuses ou une appartenance syndicale », ainsi que « des données de santé révélant une dangerosité particulière. » sans qu’aucun débat public à la hauteur des enjeux n’ait été organisé.
Déjà en 2015, des militants écologistes avaient été empêchés de manifester sur la base de l’état d’urgence anti-terroriste, les Gilets Jaunes ont été criminalisés depuis 2018 et un préfet de police en exercice s’est permis de diviser la société en «camps » opposés. Les nouveaux décrets donneraient aux procureurs de la République un accès aux convictions philosophiques ou religieuses contenues dans ces méga-fichiers. Ces données qui relèvent de l’intime ne sauraient en aucun cas être essentialisées. Ce serait une grave rupture avec la liberté de conscience, fondement du principe de laïcité. Elles sont par ailleurs inutiles au juge mais pourraient servir à museler les opposants aux politiques gouvernementales. Les progrès de l’informatique et du traitement des données auraient dû s’accompagner d’une prudence et d’un contrôle démocratique accrus de la création et de l’utilisation de ces fichiers. Force est de constater qu’il n’en est rien. Ainsi, des avis de la CNIL n’ont pas été suivis sur le périmètre de certaines catégories de données qu’elle considérait trop étendues ainsi que sur les données relatives aux « activités sur les réseaux sociaux ».
Du « Livret ouvrier » de Napoléon Ier aux fichiers de police actuels (le rapport Bauer en avait dénombré 37 en 2008), en passant par le « fichier Tulard » recensant les supposés communistes ou Juifs à la fin de la IIIe République qui fut remis gracieusement à la Gestapo à Paris en 1942, ou le carnet anthropomorphique des « nomades » créé par une loi de 1912, remplacé en 1969 par un « carnet de circulation » des « gens du voyage » (supprimé en 2015), l’histoire du fichage de la population en France s’est trop souvent confondue avec des outils de répression, voire d’extermination des personnes ainsi répertoriées. Les présents décrets sont une boîte de Pandore qui ne peut être mise entre les mains des dirigeants d’aujourd’hui et a fortiori entre celles de ceux de demain.  Cette extension du fichage doit être abrogée en ce qu’elle viole non seulement le principe constitutionnel de sûreté qui implique que tout citoyen soit protégé des éventuels abus du pouvoir, mais aussi le principe de laïcité qui contient le respect de la liberté absolue de conscience et le droit de changer à tout moment de « convictions ».Le recul de Nicolas Sarkozy en 2008 qui a dû retirer le fichier EDVIGE après qu’une pétition eut recueilli plus de deux millions de signataires montre que rien n’est perdu.
Les recours juridiques déjà engagés ne suffiront pas. Le peuple doit se lever en masse contre ces décrets scélérats !

Nous exigeons le retrait immédiat des décrets du 2 décembre 2020.

Premiers signataires :
Philippe Barre, syndicaliste
Dounia Besson, militante associative
Josine Bitton, avocate au Barreau de Seine-Saint-Denis
Franck Boissier, président Ufal Montreuil
François Boulo, avocat, Gilet jaune
Flavien Challieux, fonctionnaire ministère du travail
François Cocq, essayiste
Fanny Cortot, avocate au Barreau du Val-de-Marne
Charles Coutel, philosophe
Vincent Denorme, militant associatif
Romain Dureau, agroéconomiste, GRS
Frédéric Faravel, conseiller municipal et communautaire de Bezons (95)
Arnaud Fabre, administrateur national des Stylos rouges
Bernard Foucher, conférencier gesticulant
Hélène Franco, magistrate, syndicaliste
Jean Gatel, ancien ministre
Christian Gaudray, président de l’Union des Familles Laïques – UFAL
Charlotte Girard, universitaire
Riva Gherchanoc, CLCS-Flp
Nicolas Gliere, membre des stylos rouges
Claudine Granthomme, Clcs-flp Charente
Nicolas Guillet, juriste
Ioannis Kappopoulos, avocat au barreau de Valenciennes
Georges Kuzmanovic, président de République Souveraine
Franck La Brasca, professeur des Universités honoraire
Aude Lancelin, rédactrice en chef de QG, le média libre
Laurent Lebon, musicien artiste enseignant
Manon Le Bretton, membre des Constituants
Patrice Leguerinais, militant associatif
Louisa Leroy, Clcs-Flp Paris et Convergence SP Paris
David Libeskind, avocat
Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice
Caroline Mécary, avocate au Barreau de Paris
Thierry Mesny, président de l’ADLPF (Association des Libres Penseurs de France)
Sacha Mokritzky, rédacteur en chef de la revue Reconstruire
Arnaud de Morgny, coordonnateur GRS Ile-de-France
Armand Nejade, ancien chercheur Inrs
Frédéric Pierru, chercheur en sciences sociales et politiques
Nicolas Pomiès, dirigeant mutualiste, membre du bureau national de l’UFAL
Régis Portalez, Gilet jaune
Christophe Prudhomme, médecin hospitalier, syndicaliste
Bernard Teper, co-animateur du Réseau Éducation Populaire (Rep)
Didier Thevenot, président de la Mutuelle Générale de Prévoyance
Yohan Salès, conseiller municipal à Pierrefite
Mylène Stambouli, avocate au Barreau de Paris
Catherine Verne, philosophe
Monique Vézinet, journal Respublica
Frédéric Viale, essayiste
Pierre Zilber, président de Mutuale, La Mutuelle Familiale

Pétition à signer sur https://www.petitions.fr/non_a_lextension_du_fichage_policier

 

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24 décembre 2020 4 24 /12 /décembre /2020 06:55

Pour la nouvelle année, les vœux se répètent souvent. Bonne santé dit-on traditionnellement... La santé oui, mais laquelle ? sociale, psychologique, médicale, politique... Un bref retour sur l'année écoulée permet de faire le point.

 

Inventaire 2020 en chanson par les Goguettes

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23 décembre 2020 3 23 /12 /décembre /2020 06:29

Certainement n’est-ce pas toute la police espagnole. Mais tout de même !

Si cela pouvait questionner la police française sur son rôle, sa fonction, ce serait pas mal.

Mettre dans la barre de recherche : en Espagne union de la police avec le peuple pour libérer la vérité.

Exergue

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13 décembre 2020 7 13 /12 /décembre /2020 19:30
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